«La liquidité disponible dans le compte courant du trésor de l'Etat a atteint, jusqu'à vendredi 4 janvier, 126 millions de dinars tandis que les dépenses salariales publiques sont estimées à 600 millions de dinars». C’est ce qu’énonce une dépêche de la Tap pour le moins inquiétante, puisque les charges salariales de l’Etat paraissent de toute évidence plus de quatre fois plus élevées que les fonds actuellement à la disposition de l’Etat tunisien.