Tribune. Les Tunisiens ont de moins en moins confiance dans ceux qui veulent les diriger.Calmez-vous mesdames et messieurs les donneurs de leçons, la révolution est loin d'être terminée, et la farce électorale qu'on nous prépare n'a pas pour objet de l’accélérer, mais au contraire de la freiner. Par Gilbert Naccache.