Dans une Tunisie où même les partis politiques organisent leurs réunions sur Facebook. A une époque où la présidence de la République a fait du réseau social son moyen de communication privilégié. Voici que les soupçons planent de nouveau, et les accusations fusent. De faux-profils seraient chargés de semer la zizanie en Tunisie, et surtout entre les mouvements politiques les plus en vue.